Oubliez « Je te laisse le choix dans la date », trop courant. Oubliez aussi « Essuie ça vite et bien », trop élégant. Oubliez enfin « Je suis arrivé à pied par la Chine », trop discriminant. Plongez au plus profond de la vulgarité sémantique grâce à dix contrepèteries scandaleuses, que même le grand Jean-Marie… Bigard rougirait à prononcer.
- Aucun homme n’est jamais assez fort pour ce calcul
[spoiler] Aucun homme n’éjacule assez fort pour se calmer[/spoiler]
Ou comment passer des mathématiques à la physiologie masculine. - Je te verrais bien en curé, avec une calotte
[spoiler]Je te verrais bien enculé avec une carotte[/spoiler]
De l’ambition sacerdotale à la cuisine scabreuse. - La philanthropie de l’ouvrier charpentier
[spoiler] La tripe en folie de l’ouvrier partant chier[/spoiler]
De la menuiserie à la scatologie corporative - La jeune fille revient de la ferme pleine d’espoir jusqu’au pont du Jura
[spoiler] La jeune fille revient de la foire pleine de sperme jusqu’au ras du jupon[/spoiler]
De la comptine bucolique au compte-rendu de gang-bang… Charmant. - Il faut secouer les mites de tes habits
[spoiler] Il faut secouer les bites de tes amis[/spoiler]
Du conseil domestique à la branlette collective. - J’adore les filles en culottes et en corsets
[spoiler] J’adore les filles enculées et encore sottes[/spoiler]
De la confidence gênée à l’aveu criminel. - Quel bonheur pour la princesse que la dotation du roi
[spoiler] Quel bonheur pour la princesse que la rotation du doigt[/spoiler]
Du témoignage historique à l’adage graveleux. - Le charpentier réalisait un faîtage de pente
[spoiler] Le charpentier réalisait un pétage de fente[/spoiler]
De la menuiserie (bis) à la didascalie porno. - Pour retrouver le gout du blanc, rien ne vaut une fine appellation
[spoiler] Pour retrouver le bout du gland, rien ne vaut une pine à fellation[/spoiler]
De l’œnologie exigeante au remède sexuel. - Devenu riche à force de peiner, l’ouvrier roule sur les pépettes
[spoiler] Devenu rêche à force de piner, l’ouvrier pèle sur les roupettesDe l’apologie du travail à la mycose testiculaire.[/spoiler]